Les films

Liste des films de Paulin S. Vieyra que nous recherchons.

  • L’Afrique à Moscou 1957
  • Le Niger aujourd’hui. 1958, 16 mm
  • Les Présidents Senghor et Modibo Keita, 1959, 16 mm, cm
  • Avec les Africains à Vienne, 1959
  • Présence Africaine à Rome, 1959 (copie sans son retrouvé)
  • Avec l’ensemble national (1964), 35 mm, couleur 10mn, primé au festival de Saint-Cast en 1965
  • Voyage du Président Senghor au Brésil et à Trinidad Tobago 1963/1964
  • Le Sénégal au Festival Mondial des Arts Nègres, 1966, 35 mm, n/b, 35 mn
  • Visite officielle du Président Senghor au Canada en octobre 1966. Primé au festival de Dinard en 1969
  • L’Art plastique, 1974
  • Indépendance du  CAMEROUN/TOGO/CONGO/MADAGASCAR, 1960 (16 mm/C – CM)
  • Ecrit de Dakar 1974 (35 mm C 10 mn)
  • Diarama, 1974 (16 mm C 26 mn) production société de radio diffusion Canadienne (1976)
  • L’Habitat Urbain au Sénégal, 1976 16 mm C 26 mn) production Nations Unis et Canada
  • L’Habita rural au Sénégal, 1976, 16mm C, 13 mn, production Nations Unis et Canada
  • Les Oiseaux 1981

PROJETS NON ACHEVES

  • Alioune Diop, Homme de Culture
  • Léopold Sédar Senghor, Poète

C’ETAIT IL Y A 4 ANS

Paulin Soumanou Vieyra, 1954 film de fin d’étude IDHEC, 35 mm N/B 5 mn
Synopsis
Un étudiant africain à sa table de travail entend à la radio un chant de son pays. Il se sent transporté plusieurs années en arrière au moment où il s’apprêtait à partir pour la France. Il esquisse quelques pas de danse. Sur ces entre-faites, sa petite amie française arrive pour continuer son éducation de musique classique. En écoutant le premier disque classique, son esprit repart en Afrique

AFRIQUE SUR SEINE

PAULIN SOUMANOU VIEYRA, 1955, 21 min, 16 mm, Noir & Blanc (Anglais, Portugais, Espagnol, Italien)

Support(s) proposé(s) : DVD – DCP (restauré le 28/09/2018)
Restauration 2 K par Éclair, supervisée par PSV Films, portée par Orange et la Cinémathèque Afrique de l’Institut français.


La vie des Noirs africains à Paris en 1953/1954 du clochard à l’étudiant en passant par les travailleurs.

Des années 1920 à 1960, avant l’accession à l’indépendance d’un grand nombre de pays d’Afrique, le cinéma africain est quasiment inexistant, et lorsque les Européens filment le continent, ce n’est qu’à travers un regard extérieur, celui du colonialisme, offrant aux différents peuples une représentation erronée (à l’exception des films du cinéaste et ethnologue Jean Rouch, mais qui n’étaient pas d’abord destinés à un public).

En vertu du décret Laval, ministre des Colonies dans les années 1930, chaque projet de film est soumis à autorisation, après vérification du scénario. La censure peut même intervenir après réalisation, comme ce fut le cas, en 1950, pour le documentaire de Robert Vautier Afrique 50, qui se déroule en Côte d’Ivoire, première réalisation française anticolonialiste, ainsi qu’en 1953 avec le court métrage d’Alain Resnais, Ghislain Cloquet et Chris Marker, Les statues meurent aussi (1953) qui montrait la domination de l’art occidental sur l’art africain.

Dans ce contexte, Paulin Soumanou Vieyra, premier Noir africain à avoir fait l’Idhec, et ses amis Mamadou Sarr, Robert Caristan et Jacques Melo Kane, n’obtiennent pas l’autorisation de tourner en Afrique. Ils réalisent alors, sous le patronage du Comité du film ethnographique, le court métrage Afrique sur Seine, qui montre « quelques aspects de la vie des Africains à Paris » (Paulin Soumanou Vieyra, Le Cinéma africain des origines à 1973, Présence africaine).

Le court métrage expose les interrogations d’étudiants sur leur identité, leur civilisation, leur culture et leur avenir. La voix off se demande si l’Afrique est seulement en Afrique ou aussi au bord de la Seine ?

Paulin Soumanou Vieyra, qui sera par la suite le pionnier de la critique cinématographique africaine, prône un cinéma au service du peuple. À la naissance du cinéma d’Afrique noire, le premier mouvement des cinéastes africains sera donc de revendiquer l’authenticité de leur regard sur leur propre réalité.

« En 1955, lorsqu’un petit noyau d’Africains et d’Européens discutait de cinéma dans les salles enfumées d’Europe, on ne leur prêtait guère attention. En voulant un cinéma africain, en travaillant à son avènement, à l’époque, ils combattaient pour l’indépendance à leur manière ; car il ne faisait aucun doute que seule la souveraineté nationale des pays africains permettrait l’expression cinématographique de la réalité authentiquement africaine ». (Paulin Soumanou Vieyra, op. cit.)

Africa on the Seine by Paulin Soumanou Vieyra and Mamadou Sarr (Afrique sur Seine, 1955, 21min, ST Angl)

Is Africa in Africa, on the banks of the Seine or in the Latin Quarter? Bitter-sweet questions posed by a generation of artists and students in search of their civilization, their culture and their future. This film, the first by African film- makers, was made under the auspices of the Ethnographic Film Committee of the Museum of Man.

Réalisé en France en 1955 faut d’autorisation de tournage en Afrique (loi Laval)

Réalisation : Paulin Soumanou Vieyra
Scénario : Mamadou Sarr
Producteur : Mamadou Sarr
Directeur photo : Robert Caristan,
Montage : Paulin Soumanou Vieyra
Régisseur : jacques mélo kane
Production : Groupe Africain



BIRAGO DIOP
conteur

VIEYRA Paulin, 1981, 28 min, Couleur 16 mm- (Anglais)
Support(s) proposé(s) : DVD, DCP en N&B

Birago Diop apparaît comme le pionnier des lettres africaines. Il a connu le long cheminement des poètes de la négritude à partir des années 30. Mais, alors que les jeunes écrivains antillais et africains choisissaient la poésie pour exprimer la recherche de leur identité, Birago Diop s’est situé dès le début de son œuvre au cœur du monde littéraire africain, adoptant comme mode d’expression le conte et le roman. Birago Diop évoque ses souvenirs : issu de la vieille bourgeoisie saint-louisienne, il fait ses classes au lycée Faidherbe, premier lycée de l’Afrique occidentale, avant de venir en France poursuivre des études de médecine vétérinaire, occasion pour lui de participer au premier noyau de Présence Africaine. Ses œuvres sont aujourd’hui au programme des lycées du Sénégal.

Birago Diop appears as the pioneer of African letters. He knew the long journey of poets of blackness from the 30s. But, while young writers Antillean and African chose poetry to express the search for their identity, Birago Diop was located from the beginning of his work at the heart of the African literary world, adopting as a mode of expression the tale and the novel. Birago Diop evokes his memories: coming from the old Saint-Louisian bourgeoisie, he made his classes at Faidherbe high school, the first high school of West Africa, before coming to France to study veterinary medicine, an opportunity for him to participate in the first one. core of African Presence. His works are now on the curriculum of high schools in Senegal.

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NDIONGANE

VIEYRA Paulin, 1965, 18 mn NB
(Français, 35 mm/C, 18 mn, Fiction)
sélectionné pour le Festival de Moscou 1965

D’après le conte de Birago DIOP « Petit mari ». Un chasseur, tué par un lion, laisse une femme et deux enfants. Pour montrer qu’il y a encore un homme à la maison, le fils s’appellera désormais NDION GANE, c’est-à-dire Petit mari. Ce surnom lui attire les moqueries de ses camarades. Désespéré, il s’en- fuit et se noie dans la mer. Folles de douleur, sa mère et sa sœur se noieront à leur tour

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EN RESIDENCE SURVEILLEE

VIEYRA Paulin Soumanou, 1981, 16 ET 35 mm, VF, et sous titré en anglais 1h42 (projet de restauration en cours)

Un état africain en butte à des difficultés politiques et économiques – Un jeune universitaire dans sa thèse de doctorat d’Etat donne une orientation susceptible de sortir le pays de ses difficultés, actuelles. Il préconise le retour aux sources de la tradition culturelle africaine en conservant les acquis de l’Occident.
Le chef de l’Etat de ce pays voudrait bien appliquer cette thèse. Mais en homme prudent il consulte ses collaborateurs : ministres, autorités militaires, religieuses. Mais il n’a en face de lui que des courtisans. La magistrature cependant, discute de la thèse en montrant le pour et le contre. Le Président décide d’aller voir un vieil ami d’enfance retiré dans son village natal. Celui-ci l’approuve dans la démarche qu’il se propose de suivre : Faire étudier la thèse pour son application politique. Mais une telle décision ne fait pas l’affaire de tous, notamment du néo-colonialisme qui se voit attaqué dans ses retranchements et le chef de l’Etat en question sera mis en résidence surveillée par un coup d’état assez particulier.

An African state facing political and economic difficulties – A young academic in his doctoral thesis provides guidance that may bring the country out its current difficulties. He advocates a return to the sources of the African cultural tradition preserving the achievements of the West.
The Head of State of this country would properly apply this thesis. But as a prudent man he consults his staff: ministers, military, religious. But he has in front of him only courtiers. The judiciary council, however, discusses the thesis by showing the pros and cons. The President decides to visit an old childhood friend retired to his native village. This latter approves the approach he intends to follow: To have the thesis studied for a political implementation. But such a decision does not make the deal for all, including the neo- colonialism which feels pushed into its last strongholds and the Head of State in question will end up placed under house arrest through a rather particular « coup ».



L’ENVERS DU DECOR

VIEYRA Paulin Soumanou, 1981, 25 min, Couleur, (Anglais)
Support(s) proposé(s) : 16 mm, DVD, DCP
Reportage (making off) sur Ousmane Sembene, un des plus grands cinéastes d’Afrique Noire, pendant le tournage de « Ceddo »

L’Envers du Decor – Ousmane Sembène: The Making of Ceddo U.S. Premiere
Director: Paulin Soumanou Vieyra, Country: Senegal, Year: 1981 – Running Time: 25min
Language: Wolof and French with English subtitles
Paulin Vieyra captures Ousmane Sembene, one of the greatest African film-makers, during the filming of Ceddo. L’Envers du decor* took fours years to complete. As for Ceddo, it was banned by the Senghor government and remained so until 1983.




IBA NDIAYE,
PORTRAIT D’UN PEINTRE

Tanit d’Argent en 1978 à Tunisie (7ème édition JCC Festival complétion court métrage)
VIEYRA Paulin Soumanou, 1982, 35 min, Couleur
Support(s) proposé(s) : 16 mm, DVD et DCP sous titré en anglais

Au cours d’un entretien avec le cinéaste Paulin Vieyra, le peintre Iba Ndiaye évoque les grandes époques de sa vie. Il raconte d’abord son enfance au Sénégal et ses études au lycée Faidherbe de Saint-Louis, où déjà, il est attiré par le dessin et le graphisme. Puis il part pour la France où il choisit de s’établir. Zadkine devient alors son professeur. La nature africaine et ses vastes horizons restent cependant sa principale source d’inspiration. Iba Ndiaye est décédé le samedi 04 octobre 2008, à l’âge de 80 ans à Paris. Il aura exposé ses œuvres aux quatre coins du monde.

During an interview with the film-maker Paulin Vieyra the painter Iba Ndiaye recalls key moments of his life. He begins with his childhood in Senegal and his studies at the Lycee Faidherbe in St. Louis of Senegal where he was drawn to design and graphic arts. Next he leaves for France where he ultimately decides to live. Zadkine is his professor. African nature and its sweeping horizons remain however his main sources of inspiration. Iba Ndiaye died in Paris on Saturday, October 34, 2008 at the age of 80. His works have been exhibited throughout the entire world.

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LAMB

VIEYRA Paulin, 1963, 18 min, 16 mm, Couleur (Anglais, Portugais)
Support(s) proposé(s) : Betacam sp, DVD, DCP et  Blu Ray 

En 1964 et en 2018

Lamb (La Lutte sénégalaise) de Paulin Soumanou Vieyra (1963, 18 min, Sénégal)
Une présentation de La Cinémathèque de l’Institut français, Orange et PSV Films.
Restauration numérique effectuée à partir de la numérisation en 2K des négatifs 35mm. Restauration réalisée par Eclair et portée par Orange et la Cinémathèque Afrique de l’institut Français.

Sélectionné en compétition court métrage en 1964 à Cannes, LAMB est à nouveau mis à l’honneur à Cannes Classic en 2018.

La lutte traditionnelle qui se dénomme Lamb en wolof et qui rappelle la lutte gréco-romaine, est un sport national très prisé au Sénégal. Elle a des règles particulières et très strictes.

Lamb (U.S. Premiere)
Director: Paulin Soumanou Vieyra – Country: Senegal – Year: 1963 – Running Time: 18min
Language: Wolof and French with English subtitles
This documentary captures the sport of traditional wrestling, called ‘lamb’ in Wolof, popular in Senegal. Vieyra presents the rigorous rules of the sport and training practices by the sea. The Dakar Arena serves as a showcase for the battles in the film, where every spectator can bet on his favorite wrestler in a festive atmosphere.. Fifty years ago, Lamb was in the official selection of the Cannes Film Festival, a first for a film from sub-Saharan Africa.




MOL

VIEYRA Paulin, 1966, 27 min, 16 mm, Couleur (numérisé en 2014)Support(s) proposé(s) : DVD et DCP sous titré en anglais
1957 : Un homme, un idéal, une vie : CM, 16mm, coul., 26’ (achevé en 1966 sous le titre de Mol, les pécheurs)
Un jeune pêcheur rêve de motoriser sa barque pour faciliter son travail. Ce rêve deviendra réalité, grâce à son courage et à son obstination, mais suscitera un conflit entre les valeurs traditionnelles et la notion moderne de progrès.

A young fisherman dreams of motorizing his boat to better his working conditions. This dream becomes a reality, thanks to his courage and persistence. But this achievement creates a conflict between traditional values and the modern notion of progress.


UNE NATION EST NEE

VIEYRA Paulin Soumanou, 1961, 25 min, NB (Anglais)
Support(s) proposé(s) : 16 mm, DVD et DCP
primé au Festival de Locarno, Festival Lausanne 1962 et au Festival de Karlovy-vary 1962

Le cheminement du Sénégal, de la colonisation à la souveraineté nationale, traité de façon allégorique

En 1958, Vieyra a ouvert un bureau spécial pour promouvoir le cinéma au Sénégal. Après l’indépendance (1960), il devient le centre de la cinématographie du pays. Une nation est née est un portrait historique du pays de Vieyra, montrant des scènes tirées des traditions précoloniales, représentées principalement par la danse, puis la domination menée par les Européens et, enfin, le nouveau départ représenté par la célébration de la république.

A Nation Was Born – U.S. Premiere – Director: Paulin Soumanou Vieyra – Country: Senegal – Year: 1961

Running Time: 25min – Language: Wolof and French with English subtitles
In 1958 Vieyra opened a special office to promote cinema in Senegal. After Independence (1960) it became the center of cinematography in the country. A Nation Was Born is a historical portrait of Vieyra’s country, showing scenes drawn from precolonial traditions, depicted mainly by dance, then European-led domination and, finally, the new beginning represented by the celebration of the republic.


SINDIELY

VIEYRA Paulin Soumanou, 1965, 16 min,NB (Anglais)
Support(s) proposé(s) : 16 mm, DVD et DCP

Un père cupide veut marier sa fille contre son gré à un riche marchand de tissus alors qu’elle aime un jeune homme. L’Hostilité de la famille finira par faire céder le père. Le mariage des jeunes gens aura lieu.

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PAULIN S. VIEYRA le précurseur oublié

(court métrage de 25 mn réalisé par Mona MAKKI de l’espace francophone) DVD, Blu Ray
Une vie dédiée à filmer l’Afrique, à oeuvrer pour l’émergence de talents Africains comme le grand cinéaste sénégalais Ousmane Sembène, et à signer les premiers textes africains de critique cinématographique. Mona MAKKI consacre un portrait à ce précurseur injustement méconnu.
Né en 1925 au Dahomey devenu le Bénin après l’indépendance, Paulin Soumanou Vieyra quitte son pays natal à l’âge de 10 ans pour poursuivre sa scolarité France.

Dès années plus tard, il sera le premier Africain diplômé de l’institut français des hautes études cinématographiques (IDHEC).
Débute alors une vie dédiée à filmer l’Afrique, à œuvrer pour l’émergence de talents africains comme le grand cinéaste sénégalais Ousmane Sembène, et à signer les premiers textes africains de critique cinématographique

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DESTIN COMMUN, Hommage à 3 éclaireurs du 7 ème Art

Documentaire réalisé par Stéphane Vieyra pour les 30 ans de la disparition de Paulin S Vieyra, 52 mn
Présenté au Fespaco 25ème édition
Programmé dans le cadre de la 34ème édition du Festival international de cinéma Vues d’Afrique

Affiche du film

Synopsis
Il y a des dates qui nous rappellent à notre Histoire.
Il s’agit de l’Histoire du 7ème art africain, de ceux qui ont contribué à ouvrir cette belle route de l’engagement et du partage par l’image, endossant chacun un rôle et chacun un destin.
Ousmane Sembène nous quitte en 2007, laissant un énorme vide, tant son charisme occupait l’espace cinématographique et tout autre espace, et tant son talent jetait de l’ombre sur les plus jeunes, tout en leur servant d’exemple.
Paulin Soumanou Vieyra nous quitte en 1987, laissant derrière lui une œuvre universelle même si inachevée. Discret, visionnaire, à l’écoute, il a joué le rôle de l’éclaireur allant, dès 1948, interpréter aux cotés de Gérard Philippe le tirailleur du « Diable au corps ». Ayant la possibilité de tourner en France, il réalise le premier, en 1955, avec ses copains, le doux et magistral Afrique-sur-Seine.
Jean Rouch, qui aurait eu 100 ans aujourd’hui, a partagé toute sa vie durant des images et des paroles avec ses amis africains en cinéma, de Paulin S. Vieyra à Sembène Ousmane, de Moustapha Alassane à Oumarou Ganda, de Djingareï Maïga à Inoussa Ousseini, de Damouré Zika à Zalika Souley, de Safi Faye à Ola Balogun, de Désiré Ecaré à Djibril Diop Mambéty, de Sidney Sokhona à Timité Bassori, de Souleymane Cissé à Idrissa Ouedraogo…
Jean, cet artisan enthousiaste de films documentaires et de fiction, rendait hommage – il y a 30 ans déjà ! – à Paulin à peine disparu, en présence de Sembène, à la Cinémathèque française qui se trouvait encore à Chaillot…



TEMOIGNAGES

Documentaire de Stéphane Vieyra de 13 mn VF et VA
Support : DCP
Présenté le 4 novembre 2017 au Musée du quai Branly
Présenté le 24 juin 2018 à la 4ème édition de l’EURAFRICAINE
Nouvelle version pour les 50 ans du Fespaco 2019
Ouverture du festival « Abidjan fait son cinéma » de la fondation Henri Duparc


Synopsis
Les frères et sœurs et les  amis parlent de Paulin au passé au présent et au futur, de son plus jeune âge à sa disparition le 4 novembre 1987 à Paris.
Une initiative de Jean Rouch de rendre Hommage à son ami à la cinémathèque Française nous donne le fil conducteur de ce film.
Brothers and sisters and friends talk about Paulin’s past to present and future, from his youngest age to his disappearance on November 4, 1987 in Paris. An initiative by Jean Rouch to pay homage to his friend at the French film library gives us the thread of this film.

Jacqueline et Louis Vieyra